Denis Van Weynbergh

Croire en ses rêves et se donner tous les moyens d’y parvenir. Il y a dans le destin de ce Belge attachant et volubile l’impression que rien n’est impossible. Polyglotte (il parle trois langues), fondateur d’entreprise, journaliste… Denis a eu plusieurs vies avant de persévérer en course au large, alors que la Mini-Transat avait fait office de révélateur. Le Belge a ensuite progressé en course au large, notamment en Class40 avant de lancer son aventure IMOCA. Il compte désormais plus de 80 000 milles et se rapproche patiemment de son objectif n°1 : participer au Vendée Globe.

Denis VANWEYNBERGH 1x1
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« UNE COURSE PARTICULIÈREMENT INTENSE » 

Denis, quelle est « La Base » de tes objectifs de ce « Retour à La base » ?

L’objectif, c’est de terminer, d’aller au bout. Cette course est particulièrement importante pour moi dans le but de se qualifier pour le Vendée Globe. Je n’ai pas pu terminer la Route du Rhum, ce qui m’oblige à y arriver cette fois-ci. Ce sera une course particulièrement intéressante, d’autant que beaucoup de skippers doivent encore assurer leur qualification pour le Vendée Globe. Ce qui n’est pas évident, c’est de partir des conditions chaudes des tropiques pour revenir dans le froid, au près et au reaching… Il va falloir remplacer les tee-shirts et les casquettes contre des cirés et des polaires ! 

C’est quoi la « base » du solitaire par rapport au double ?

Je trouve que de passer de l’un à l’autre est assez naturel. En double, tu es généralement en « faux solo » donc tu es déjà seul sur le bateau ! La seule grande différence, c’est le fait de pouvoir dormir plus facilement et plus longtemps en double. Tout seul, tu dois rester en veille permanente, même quand tu te reposes. Et l’effort physique est un peu plus en forme aux colonnes !

C’est quoi ton astuce de « base » pour récupérer entre ces deux transats à venir ?

Avant tout, il s’agira de beaucoup dormir. Et puis j’irai aussi manger au restaurant et boire quelques bonnes bières ! J’ai la chance qu’une partie de l’équipe vienne en Martinique pour s’occuper du bateau et ça va nous permettre aussi de profiter tous ensemble ! 

 

 

 

EXTRAIT DE PALMARÈS 


EN IMOCA

2023
Rolex Fastnet Race - 27e

2022
Vendée Arctique - ABD
Guyader Bermudes 1000 Race - 21e

2021
Transat Jacques Vabre - 19e

2019
Bermudes 1000 - 17e




AUTRES CATÉGORIES

2013 
Transat Jacques Vabre - 16e

2012 
Transat Québec - Saint Malo - 19e

2011
Les Sables - Horta - Les Sables - 12e

2010
La Route du Rhum - La Banque Postale - 39e

2001
Mini Transat 


LE BATEAU

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Nom : D’IETEREN GROUP
Architecte : Nándor Fa & Attila Déry - Hungary
Construction : 2013, Pauger Carbon Ltd, Hongrie
Date de mise à l’eau : 2013
Anciens noms : Spirit Of Hungary, Laboratoire de Biarritz

Longueur : 18,28m
Largeur : 5,65m
Tirant d’eau :4,50m
Poids :NC 
Hauteur de mât : 29m
Type de mât : NC
Foils : non
Près :NC
Portant : NC


LE SPONSOR 

 

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D’IETERENGROUP

Fondée en 1805 et basée à Bruxelles, D’Ieteren Group est une société familiale cotée en bourse. Elle investit dans des entreprises qui sont ou ont le potentiel de devenir leader dans leur marché et de générer de la valeur durable pour leurs collaborateurs, leurs clients, la société au sens large et leurs actionnaires. Son portefeuille international compte aujourd’hui 6 entreprises : Belron (maison mère de Carglass), PHE (maison mère, entre autre, d’Autodistribution et d’Oscaro), Moleskine, D’Ieteren Automotive, TVH et D’Ieteren Immo. 

dieterengroup.com